Proposé par Alcatel-Lucent Enterprise

Réseau autonome, IOT, cyber sécurité : comment Alcatel-Lucent Enterprise dynamise la transformation numérique des entreprises ?

La crise sanitaire a fortement accéléré la digitalisation des entreprises et ces dernières ont en effet radicalement modifié leur manière de collaborer et de mener à bien leur projet, le plus souvent à distance. Ces changements exercent une pression imprévue sur toutes sortes de technologies réseau et pose des problèmes de bande passante et de sécurité. Aussi, fort de son expertise dans le domaine, Alcatel-Lucent Enterprise accompagne les organisations dans la sécurisation des réseaux et la modernisation des processus métiers. Laurent Bouchoucha, VP Business Développement & Solution Architecture chez Alcatel-Lucent Enterprise en dit plus sur les solutions d'ALE pour accompagner les entreprises dans leur digitalisation.

A l’heure où les entreprises commencent à entrevoir la fin de la crise sanitaire, plusieurs enseignements sont à retenir. Premièrement, l’évolution récente des modes de travail (télétravail, mode hybride, mobilité totale) va perdurer dans le temps et nécessite de pouvoir accéder à ses ressources et applications depuis n’importe quel lieu. Deuxièmement, les processus métiers se sont digitalisés. En témoigne le boom des objets connectés (IoT) qui génèrent beaucoup d’informations pour les entreprises, à condition que celles-ci sachent les exploiter. Troisièmement, cette digitalisation croissante augmente l’exposition des entreprises aux risques cyber. Les chiffres parlent d’eux-mêmes, près de 9 entreprises sur 10 ont été victimes d’intrusions informatiques en 2020 selon Gartner. Ces évolutions nécessitent une infrastructure réseau robuste, sécurisée et autonome. C’est pour cela que les solutions réseau d’Alcatel-Lucent Enterprise sont développées suivant les principes d’automatisation, de simplicité et de sécurité.

Un réseau autonome pour faciliter les opérations

Ces vingt dernières années, l’infrastructure IT s’est fortement modernisée et automatisée. Déployer une application ne prend aujourd’hui que quelques minutes là où la configuration d’un réseau d’entreprise prend plusieurs jours au minimum, ce qui retarde la transformation numérique. C’est là qu’intervient le réseau autonome qui a pour ambition de simplifier le déploiement des services en connectant automatiques et en toute sécurité les personnes, les processus, les applications et les objets. « Tout cela permet aux équipes informatiques de se focaliser sur des projets business et de fournir automatiquement des services entre les utilisateurs, les processus métiers et les applications au travers d’une infrastructure robuste » explique Laurent Bouchoucha. Il ajoute qu’ « automatiser les changements, les ajouts et les modifications réduit drastiquement le temps et les efforts nécessaires à la maintenance et au fonctionnement du réseau ».

Au-delà des gains de temps, le réseau autonome assure une expérience fluide entre les infrastructures filaires et sans-fil tout en fournissant au réseau de hautes performances grâce à :

  • Un réseau robuste tant en termes de matériels que de services
  • Un retour à la normale ultra-rapide en cas d’incident
  • Un contrôle d’accès sécurisé

Le réseau au service des processus métier

Ces évolutions technologiques vont petit à petit rendre indispensable la mise en place d’une infrastructure réseau robuste allant bien au-delà de la simple communication entre collaborateurs. Les entreprises de demain auront en effet besoin de récupérer et d’exploiter de la donnée objet ou encore d’intégrer des chats bots. Ainsi, Rainbow, l’outil de collaboration d’Alcatel-Lucent Enterprise permet d’ores et déjà de nombreux cas d’usage. En témoigne les professions qui doivent respecter la chaîne du froid. « Aujourd’hui, un capteur de température peut être configuré de manière à détecter une température anormale. Si tel est le cas, une bulle de communication va se créer automatiquement, au travers d’une API, entre l’objet et les responsables de la sécurité qui vont pouvoir s’informer sur la situation », détaille Laurent Bouchoucha. « Ce canal de communication va permettre, par exemple, de déterminer si un incendie s’est déclaré dans l’enceinte et de contacter, le cas échéant, les pompiers ou les services de la mairie. Ainsi, lors d’une situation de crise, les responsables vont pouvoir récupérer et analyser les données en temps réel et prendre des décisions très rapidement. »

Objets connectés : une sécurisation à partir de l’infrastructure réseau

Le développement massif des objets connectés soulève la question du choix des réseaux pour remonter les données. En effet, connecter des objets suppose de s’appuyer sur des réseaux de connectivités hétérogènes dont l’usage varie en fonction des volumes de données à exploiter, de l’environnement, des informations à capter, de la zone à couvrir et de l’objet lui-même. Toutefois, Laurent Bouchoucha rappelle que ces objets ne sont pas nativement sécurisés, « nous pouvons toutefois sécuriser l’infrastructure sur laquelle ils fonctionnent », ajoute-t-il. « Comment ? En identifiant cet objet qui peut être un moniteur cardiaque, un mobile ou un détecteur d’incendie, et on va le mettre dans un segment sécurisé du réseau ». Cette méthode permet de sécuriser le matériel connecté de nombreux secteurs d’activité sensibles comme la santé mais aussi de tenir un inventaire complet de tous ces objets. « Certains hôpitaux disposent aujourd’hui de plus de 20 000 IOT, indique Laurent Bouchoucha. « Aussi, garder un inventaire devient compliqué dans ces conditions. Il est donc primordial d’avoir un réseau capable de placer dans un inventaire tous les objets connectés à l’infrastructure et de pouvoir les géolocaliser en intérieur car certains peuvent couter 20 000 euros et tenir dans une main. La géolocalisation en temps réel permet ainsi d’éviter les pertes et les vols. »

Avec un marché qui ne cesse de croître, les réseaux IoT deviennent de plus en plus nombreux et complexes. Cette croissance du nombre d’objets connectés au réseau se fait de manière hétérogène et anarchique donc non contrôlée. De nombreux protocoles peuvent être utilisés pour interconnecter les objets entre eux. Tous ces éléments sont à prendre en compte lors de l’établissement d’une solution de sécurité ou d’un nouveau système de détection d’attaque.

En prenant en compte toutes ces problématiques au sein de l’infrastructure réseau, les entreprises pourront pleinement tirer bénéfices de la révolution des objets connectés. Et ainsi transformer leur activité.

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