
« J'imagine le DPO comme un futur Compliance Officer de la data », précise Alessandro Fiorentino d'Adequacy
« J'imagine le DPO comme un futur Compliance Officer de la data », précise Alessandro Fiorentino d'Adequacy
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Le 31 janvier dernier, s'est tenu au Campus Cyber un événement presse pour annoncer la création de l'Institut national pour l'évaluation et la sécurité de l'IA (Inesia), le but de cet organisme sera d'évaluer les risques liés à l'IA, une sorte de contrôle technique comme l'a imagé Benoit Rottembourg de l'Inria lors des 19e universités des DPO de l'AFCDP. Pour ce faire, cet institut va s'appuyer sur des acteurs nationaux de l'évaluation et de la sécurité, au premier rang desquels l'Anssi bien sûr mais aussi l'Inria, le Laboratoire national de métrologie et d'essais (LNE) et le Pôle d'expertise de la régulation numérique (PEReN). Leur travail portera sur l'analyse des risques systémiques dans le champ de la sécurité nationale, sur le soutien à la mise en oeuvre de la régulation de l'IA, et sur l'évaluation de la performance et de la fiabilité des modèles d'IA. L'institut sera piloté par le Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) et par la Direction générale des entreprises (DGE) reliée au Ministère de l'économie mais n'aura pas de statut juridique, donc à priori, pas de pouvoirs contraignants contrairement à la CNIL.
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