Entretien
Pascal Houillon

DG de Sage France

« En rachetant des éditeurs verticaux nous leur apportons un potentiel à l'international »

Où se situent vos « solutions verticales » dans l'organisation que vous décrivez ? C'est une activité qui est gérée séparément des trois premières. L'axe vertical comprend plusieurs sociétés qui gardent une certaine autonomie (NDLR : les éditeurs métiers rachetés par Sage : C2G, Elite, Sage Cogestib...). Si nous remettons ces produits dans Sage France, qui intervient plutôt sur le marché hexagonal, nous prenons le risque de tuer leur potentiel international. Alors que, justement, l'un des intérêts pour nous d'investir dans le vertical, c'est d'apporter aux éditeurs rachetés notre capacité à aller sur plusieurs pays. Je vous cite un exemple. Contrairement à une PME qui veut qu'on lui résolve ses problèmes locaux - que l'on soit toujours en ligne avec la loi et avec la façon de...

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