Le Syntec Informatique crée un Comité Infrastructures

Regrouper tous les acteurs des infrastructures télécoms et IT au sens large : l'ambition est plutôt vaste pour le nouveau Comité du Syntec Informatique, celui chargé des « Infrastructures numériques et services ». Il regroupe les intégrateurs télécoms et réseaux membres du Syndicat, rejoints par d'autres adhérents, de grands noms de l'informatique comme Microsoft, HP, IBM, Unisys.

Sans faire de bruit, le Syntec Informatique poursuit depuis des années une politique d'élargissement et de recrutement. Elle vise les régions avec des SSII de taille locale ou inter-régionale, elle est passée par les éditeurs, ou les acteurs du conseil en technologies. Le Syntec Informatique a voulu sortir de son image, et de sa réalité ancienne, celle d'un regroupement des grandes SSII. Désormais, le Syndicat compte plus de mille adhérents. Une catégorie particulière adhère au Syndicat, mais plus récemment, celle des intégrateurs télécoms et réseaux. De grands acteurs de ce secteur se sont glissés dans les rangs du Syntec Informatique : Nextiraone, Axians, Spie Communications, Telindus, TRS. Pour échapper à l'isolement et mieux mettre en perspective leurs métiers et leurs poids dans l'économie numérique, ces intégrateurs viennent de créer un « Comité professionnel »(*), le Comité « Infrastructures numériques et services ». Microsoft, HP, IBM, Unisys, un équipementier comme Axians, ou ECS les rejoignent. Il ne s'agit donc pas d'une filière mais bien d'acteurs d'un marché très large, mais bien identifié : « celui des infrastructures IT au sens large, télécoms et informatiques, nous représentons avec le Comité 80% du marché », souligne Foucault de la Rochère Président de ce comité et P-dg de Nextiraone. « Ce secteur des infrastructures, poursuit-il, a beaucoup évolué. Tous les applicatifs viennent désormais sur le réseau. Il n'est plus le parent pauvre, mais l'élément stratégique de la décision IT. La crise économique actuelle souligne les besoins en réseaux, pour éviter les déplacements par exemple, on recourt au travail à distance ». Participer aux grands chantiers du secteur public

s'abonner
aux newsletters

suivez-nous

Publicité

Derniers Dossiers

Les meilleures alternatives à VMware

Les meilleures alternatives à VMware

Beaucoup d'informations et d'annonces sont venues perturber les DSI, les opérateurs IT et les partenaires de VMware depuis son rachat par Broadcom. Pour certains d'entre eux,...

2024, l'année de Windows 11

2024, l'année de Windows 11

Si le parc de PC dans les entreprises françaises fonctionne encore majoritairement sous Windows 10, Microsoft a toutefois fixé la fin de son support le 14 octobre 2025....

Publicité