Nazca gère toute la durée de vie des leads

L'entreprise de télémarketing focalisée le marché professionnel de l'IT élargit sa palette de prestations. Souhaitant aller au delà de la « simple » organisation d'opérations de détections de leads pour le compte des fabricants et éditeurs, elle leur propose désormais de prendre en charge la quasi globalité de leurs opérations de marketing opérationnel. Cette nouvelle offre packagée baptisée « Smart Lead Channel » consiste à « gérer nous même l'intervention éventuelle d'une agence de communication, l'organisation d'une campagne d'e-mailing, la fourniture des bases de données clients et, bien sûr, les opérations de télémarketing qui restent indispensables», détaille Alexandre Boisguerin, le président de Nazca France.
Tel que conçu par Nazca, Smart Lead Channel comprend en outre la promotion des campagnes de détection de projets dans les réseaux de distribution sur lesquels les fabricants et les éditeurs s'appuient pour exploiter les leads.

Eviter de laisser mourir des leads

Il y a encore quelques années, les fournisseurs disposaient de budgets importants qui leurs permettaient non seulement de mener des opérations de détection de projets mais aussi d'animer leur réseaux de vente indirecte. Las, la crise est passée par là. De fait, ils ne disposent plus d'assez de ressources en interne pour accompagner la transformation des projets détectés. Autrement dit, certains leads finissent aux oubliettes, ce qui amoindrit le ROI des dépenses réalisées pour les générer. Outre le fait qu'elle se propose de gérer cette problématique, Nazca à une vision à plus long terme de sa prestation : « notre service ne se limite pas à détecter des projets en phase de préparation chez les clients et à nous assurer que les revendeurs s'en saisissent. Notre démarche consiste aussi à repérer des projets qui ne sont pas encore matures. Dans ce cas, nous assurons la visibilité régulière de nos clients auprès des entreprises qui commencent à réfléchir, jusqu'à ce qu'elles soient prêtes à entrer en phase de mise en oeuvre », conclut Alexandre Boisguerin.