2021 sera l'année de la refonte de la solution Starface de l'éditeur allemand éponyme. « Nos développeurs ont passé l'année 2020 à travailler sur notre noyau Linux (ndlr : et aussi sur une base Asterisk), la version 7 de Starface sera ainsi disponible auprès de nos partenaires au plus tard cet été », indique Bertrand Broussaudier, country manager France, Belgique, Suisse francophone de Starface. Concurrent direct de 3CX et de Wildix, Starface devrait donc généraliser l'usage du WebRTC dans son offre. A ce titre, Neon, la solution de visioconférence sortie il y a peu, est déjà en WebRTC. Pour autant, le client riche, très demandé comme le confirme le dirigeant, continuera d'exister. Les solutions sont entièrement développées en interne et sont également hébergées dans des datacenters situés en Europe (Allemagne, Autriche et Suisse). Exemple de développement interne, Neon, l'outil de visioconférence devrait s'enrichir de nouvelles fonctionnalités dont l'enregistrement des conférences, le transfert de fichiers, la réunion par téléphone, sans oublier les applications Neon pour Android et iOS. Côté business, la notoriété de Starface progresse en France et les ventes aussi (+165 en janvier 2021 par rapport à la même époque en 2020) grâce à ses 45 partenaires actifs dans l'Hexagone. Déjà quatre collaborateurs forment le groupe francophone de Starface sous la houlette de Bertrand Broussaudier. « Deux nouvelles recrues au commercial et au support devraient renforcer notre équipe. » Précisons que l'éditeur, dont l'effectif avoisine les 120 personnes en Allemagne, réalise déjà un chiffre d'affaires qui dépasse les 26 millions d'euros.
La philosophie de Starface est de tout maîtriser
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