Rien ne va plus entre les dirigeants de la SSII française Unilog et LogicaCMG. Rachetée en 2005 par le britannique LogicaCMG, Unilog avait annoncé le 24 juillet dernier la démission (forcée) de Didier Herrman de son conseil d'administration. Le groupe Logica souhaitait ainsi mettre fin à ses responsabilités opérationnelles en France et en Allemagne. Une décision dont les raisons semblent « injustifiées » aux yeux du conseil de surveillance d'Unilog. Le 16 août dernier, la SSII a donc saisi le tribunal de commerce de Paris afin de lui demander de nommer un mandataire « ad hoc ». Objectif : convoquer au plus vite une assemblée générale entre Unilog SA et LogicaCMG, afin de clarifier la situation. Hier, le tribunal de commerce de Paris a finalement décidé de ne pas trancher. La décision a été renvoyée au 3 septembre, afin de permettre à Pierre Deschamps, président du conseil de surveillance d'Unilog, de s'exprimer.
La tension monte entre LogicaCMG et Unilog
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