- Grossistes - Distributique.com : Quelles sont les grandes orientations..." />

"La FEB veut être plus proche de ses adhérents en région"

Distributique.com : Où en est la FEB dans le recrutement de nouveaux adhérents ? André Vidal : En 2007, nous avons dépassé le cap des 500 membres en enregistrant 150 nouvelles adhésions. Cette année, nous espérons atteindre 700 à 750 nouveaux membres, notamment en permettant aux groupements et autres organismes fédérateurs de revendeurs de souscrire des adhésions collectives. Cette politique nous a, par exemple, permis de faire entrer à la FEB Séquence Informatique, les 8 magasins Surcouf, et, nous l'espérons, bientôt Eurabis. Pour 2009, notre objectif est toujours d'atteindre 1000 membres. Distributique.com : Quel est la répartition de vos membres par métier? André Vidal : Une bonne partie de nos adhérents est issue des mondes de la bureautique et de l'informatique. C'est le fruit de notre héritage. Il faut se rappeler que la FEB est née il y a deux ans suite à la fusion de la FNEBIM et du SEBI, tous deux orientées vers la bureautique et de l'informatique, et la FFPS, plutôt centrée sur les métiers de la papeterie et de l'équipement de bureau. Avec cette dernière fédération, le regroupement ne s'est pas passé comme prévu. Au moment de la fusion, elle a connu des problèmes financiers qui l'on contrainte à se dissoudre. Certains adhérents ont pensé que sa disparition était due à la création de la FEB. Résultat, seules la moitié des 120 entreprises que la FFPS fédérait ont adhéré à la FEB. Aujourd'hui, les choses se rééquilibrent progressivement mais nous souffrons toujours d'un déficit de membres dans le secteur de la papeterie et de l'équipement de bureau. Distributique.com : Pourquoi est-ce si important pour la FEB de faire progresser rapidement le nombre de ses adhérents ? André Vidal : La FEB est aujourd'hui la seule organisation chargée de maintenir la convention collective des métiers de la papeterie, de l'informatique, de la bureautique, des fournitures de bureau et des loisirs créatifs. Les entreprises de notre secteur doivent bien comprendre que les négociations que nous menons avec les syndicats s'imposent à eux par la suite. Si demain une étude de représentativité venait à déclarer que nous ne sommes pas représentatif des professions que nous défendons, nous pourrions perdre notre convention collective. Nous pourrions alors dépendre de celle d'un autre secteur qui ne serait alors plus adaptée à la réalité des métiers de nos adhérents.

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