Les adhérents de Rhenatic deviennent membres du Syntec Numérique

Patrick Hett, Président de Rhenatic et de la société Kimoce

Patrick Hett, Président de Rhenatic et de la société Kimoce

Plus d'une centaine adhérents, un salon à Mulhouse, un Forum sur le financement : Rhenatic est une association régionale des plus actives. Son partenariat avec le Syntec Numérique ouvre à ses adhérents d'autres possibilités tout en ancrant un peu plus le Syndicat dans les réalités régionales.

 

Rhenatic regroupe les acteurs du numérique alsacien, acteurs au sens large : intégrateurs, SSII, opérateurs, agences web, start up. 108 membres à ce jour. Parmi les derniers : Disque et Silice, Thuria, Asyspro, un distributeur, une agence, une société informatique. Ce qui montre bien la diversité ce cluster.

Rhenatic vient de signer un partenariat avec le Syntec Numérique. Il permet à chaque adhérent de Rhenatic de devenir (moyennant un petit supplément) adhérent de Syntec Numérique. Actif dans une structure régionale, il intègre donc une structure nationale. Cette double adhésion lui offre, d'un côté une association un club régional, de l'autre une branche professionnelle national avec le statut lié. La puissance du Syntec lui permet d'accéder également à des services : social, fiscal, assurances, toujours importants surtout pour une PME en région.

Guy Mamou-Mani, qui était à Strasbourg aujourd'hui ne manque pas de souligner les bienfaits de ce partenariat. Le Syndicat compte 7 délégations régionales. En plus, il développe l'adhésion de structures régionales. Des pôles de compétitivité comme Cap Digital ou Systématic (très ciblé sur l'embarqué où Le Syntec développe une commission) sont adhérents. L'agence NTIC de Bourgogne vient de rallier les rangs du Syndicat professionnel. Quatre autres structures comparables à Rhenatic sont adhérentes au Syntec Numérique.

85% de nos adhérents sont des PME

Le Syntec Numérique recrute mais surtout fédère le plus possible, ce qui est le but structurant de la nouvelle politique mise en place par Guy Mamou-Mani et son équipe. Le Syntec Numérique qui se défend à tout prix d'être le représentant de grandes SSII trouve avec ce partenariat un nouvel argument. « 85% de nos adhérents sont des PME, la moitié du conseil d'administration en est composé ». Au-delà des PME informatiques, le Syntec Numérique souhaite également intégrer des start-up, c'est le but de sa dernière commission, celle portant sur le web et la mobilité.

Cette journée était d'ailleurs très particulière pour le monde des développeurs et des start-up, avec la Nuit de l'Info. De 16h33 à 8h11 demain matin, des centaines ou plus d'étudiants vont traiter le même sujet (informatique, marketing, rédactionnel) par travail de groupe sur des sites distants reliés en visio-conférence. A Strasbourg, pour le lancement de cette édition et la signature de l'accord avec Rhenatic, Guy Mamou-Mani, nous lance  : « C'est  un bol d'air, j'ai l'impression de passer des débats sur la sidérurgie à ceux de la Silicon Valley, du passé à l'avenir avec ces milliers de jeunes ».

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