Kyocera Mita ne rachètera pas de distributeurs et veut maintenir une politique de distribution 100% indirecte. Le constructeur souhaite plutôt renforcer la convergence entre les univers informatiques et bureautiques.
Kyocera Mita s'appuie aujourd'hui sur 3 types de partenaires : 174 distributeurs de copieurs, les principaux corporate resellers et les grands grossistes, dont Tech Data, Ingram Micro ou ETC. Alors que les constructeurs de copieurs poursuivent leur politique d'acquisition de distributeurs, Kyocera Mita entend conserver une stratégie de vente 100% indirecte. « Nous avons gagné des parts de marché en 2008 dans le domaine des MFP, affirme Gérard de Kerville, Directeur Marketing de Kyocera Mita France. C'est sur le marché des imprimantes que nous enregistrons un léger recul, entièrement expliqué par l'arrêt de deux importants marchés dans les secteurs de l'administration et de la finance ». Pour dynamiser ses ventes en 2009, le constructeur souhaite renforcer la convergence entre les marchés bureautiques et informatiques. En d'autres termes, il entend convaincre les distributeurs de copieurs de vendre davantage d'imprimantes, et les revendeurs IT de développer leurs ventes de services autour du TCO. Fidéliser plus que recruter « Nous maîtrisons les deux mondes en garantissant un même niveau de services et un SAV unique, explique Gérard de Kerville. Nous sommes donc particulièrement bien placé pour proposer une approche cohérente de la réduction des coûts d'impression ». Pour soutenir ce discours, Kyocera Mita lancera au premier trimestre une campagne de communication destinée à ses partenaires, qui sera accompagnée d'un tour de France en 7 étapes, fin janvier et début février. Il présentera à cette occasion une quinzaine de nouveaux produits, imprimantes ou MFP, et une nouvelle gamme de logiciels et de services. « La réduction du TCO implique un important travail d'audit et nous avons multiplié les partenariats avec des sociétés de consulting pour permettre à nos partenaires de disposer de nouveaux arguments », conclut Gérard de Kerville.
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