Point Service Mobiles lève des fonds pour financer son expansion

Forte d'un nouveau capital, l'enseigne spécialisée dans la réparation de téléphones mobiles ambitionne d'ouvrir 85 boutiques à l'horizon 2011.

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La 10ème boutique de PSM ouvrira en avril à Nancy
Les boutiques Point Service Mobiles (PSM) viennent de lever 1,7 M€ auprès de Socadif, une filiale du crédit agricole, et d'IDF Capital, lui même détenu en partie par la CCI de Paris. Cette nouvelle capacité de financement va permettre à la tête de ce réseau, principalement constitué de franchises, d'étoffer son équipe pour recruter de nouveau franchisés et être à même de leur fournir la formation nécessaire. « A l'horizon 2011, notre objectif est d'avoir ouvert 85 boutiques dans toute la France », indique Martine Bocquillon, la directrice général de PSM. Cette dernière est à l'origine de la création de l'enseigne qui a ouvert son premier pas de porte à Paris en décembre 2007 pour proposer exclusivement des services réparation de téléphones mobiles, sous garantie ou non. Depuis, 8 nouveaux Point Service Mobiles ont été ouverts (2 à paris, Amiens, Athis Mons, Antibes, Marseille, Narbonne et Metz). A la fin du mois d'avril, un dixième PSM devrait être créé à Nancy. Pour les candidats à la franchise, qui sont le plus souvent des techniciens à l'origine, le ticket d'entrée dans le réseau se situe entre 50 et 80 K€. « Aussi étendu pourra-t-il être, notre réseau de boutiques de centre ville ne nous permettra jamais de toucher tous nos clients potentiels », concède Martine Bocquillon. En réaction, PSM vient d'ouvrir un centre de maintenance à distance qui peut réceptionner les envois postaux de téléphones mobiles des clients, parfois aiguillés vers lui par des partenaires comme Rueducommerce.com avec qui l'enseigne a passé des accords. Pour faire évoluer son concept, MPS réfléchit à l'opportunité de développer une nouvelle offre de service dans la formation des possesseurs de mobiles, partant du principe que les usage de ces terminaux se compliquent à mesure que leurs fonctions s'enrichissent. Si cette réflexion aboutissait au lancement d'une nouvelle branche d'activité, PSM n'envisagerait pas pour autant de dispenser ses formations à domicile. Elle ne pourrait donc pas disposer des avantages fiscaux de la loi Borloo sur les services à la personne qui a permis l'émergence de nombreuses entreprises de services à domicile dans le domaine de l'informatique.
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