L'Ile de France adopte son nouveau projet numérique


Le rôle particulier de la Région
Le développement des réseaux haut débit est une responsabilité partagée. La Région peut intervenir, mais aux côté de l'Etat, des autres collectivités locales, des opérateurs privés. Voire d'intervenants comme les universités et les grandes écoles, prééminent sur le territoire francilien. L'Ile-de-France se pose ainsi comme la garante de la « cohérence des différentes initiatives publiques et de la péréquation territoriale ». Sur ce dernier point, elle peut être à l'initiative de mesures destinées à un meilleur maillage du territoire.

La région intervient, en infrastructures, sur deux points : les universités et les RIP. Côté universités, elle co-finance 8 réseaux haut débit : Reve (Evry, avec le Genopole, les Mines, l'INT)), Remus (Marne-la-Vallée et 15 grandes écoles), RAP (37  universités parisiennes), Rubis (Val de Bièvre, Normale Sup', Paris XI, Onera), Saclay (Polytechnique, HEC..), Royal (Versailles St Quentin, Inra, iufm, Inria, Rectorat), Pacrret (Cerg, Essec, iufm, Crous), Nord paris (Paris VIII, Paris XIII).  Pour les réseaux d'initiative publique, l'Ile-de-France a mis la main au portefeuille sur plusieurs projets, elle cite : Sem@fort en Seine-et-Marne, une partie du réseau des Yvelines, une partie de Debitex (nord parisien).

La Région soutient également le télétravail. Là aussi pour répondre à d'autres préoccupations que celles directement liées à l'adoption des NTIC. Le télétravail se replace dans une réflexion sur les transports. La Région veut favoriser l'émergence d'un réseau de nouveaux lieux d'accueil.  Concernant l'open source, elle va amplifier ses soutiens au développement de briques applicatives en open source.

 

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