Résiliences déménage et fait le choix du flex office

Loetitia Colas a pris la direction de Groupe FMI en 2014. Crédit photo : FMI

Loetitia Colas a pris la direction de Groupe FMI en 2014. Crédit photo : FMI

Avec en tête l'objectif de recruter plus d'une dizaine de personne d'ici à 5 ans, l'intégrateur Résiliences a fait le choix de déménager au sein d'un smart building de 350 m2. Ce déménagement s'accompagne d'une volonté de renforcer la collaboration entre les employés et pour cela, l'intégrateur se tourne vers le flex office.

Près de 18 mois après avoir été racheté par l'infogéreur FMI Groupe, l'intégrateur Résiliences déménage. Il s'installe dans la commune d'Epagny Metz Tessy près de Lyon, au sein d'un « smart building » de 350 m². L'objectif ? Proposer des locaux plus adaptés à la collaboration. Ainsi, fini les petits bureaux fermés, place à un grand open space et au flex office (absence de bureau attitré). « Nous voulions proposer un espace convivial afin de faciliter les échanges entre tous les employés », explique Cédric Chiodini, responsable des agences sur la localisation d'Annecy. Parallèlement, tous les bureaux ont été dotés de doubles écrans ainsi que d'une station d'accueil afin de faciliter l'installation des 26 salariés. Ces derniers ont en outre accès à des casiers attitrés afin de pouvoir stocker leurs affaires personnelles.

Une synergie entre les équipes FMI et Résiliences

Lorsque FMI Groupe a racheté Résiliences, l'ambition de la PDG Loetitia Colas était de « construire un écosystème d'experts ». Chose faite selon Cédric Chiodini qui explique que désormais « quand l'un de nos 200 clients souhaite se tourner vers des services managés, nous faisons appel à l'expertise de FMI. Vice-versa, quand l'un de leurs clients a besoin d'une expertise d'intégration, nous partageons notre savoir-faire avec FMI ». Ces nouvelles synergies devraient permettre à Résilience de clôturer 2022 sur une croissance de 12 % à 6 M€. Quant au groupe dans son ensemble, il devrait atteindre les 20 M€. Pour accompagner son développement, l'intégrateur ambitionne par ailleurs de recruter une dizaine de personnes d'ici 4 à 5 ans, à raison de deux à trois personnes par an.

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