La sécurité des JO, l'objet de toutes les attentions

La sécurité des JO, l'objet de toutes les attentions

« Les JO sont une vitrine pour la France mais pour les cybercriminels, c'est un moyen de recrutement », explique le lieutenant-colonel Sophie Lambert du COMCYBER-MI. (Crédit COMCYBER-MI).

Une menace protéiforme plane sur les Jeux Olympiques et Paralympiques qui se dérouleront cet été en France du 26 juillet au 11 août 2024. La menace d'attentats déjà, à ce titre, le ministre de l'Intérieur avait déclaré le 21 mars dernier que 715 personnes avaient été écartées dont 10 fichées S en...

iLes dossiers sont réservés aux membres

CONNEXION
Vous n'êtes pas encore inscrit ?

Inscrivez-vous à Distributique et bénéficiez gratuitement des services suivants :

  • Accédez à tous les dossiers
    de la rédaction
  • Consultez tous les entretiens
    exclusifs de Distributique
  • Gérez vos abonnements
    aux différentes newsletters
  • Un compte unique sur tous
    les différents site IT News Info
Atos, c'est aussi la gestion des accréditations et la diffusion des chronos

Atos est un habitué des JO, Tokyo, Londres, Vancouver, Barcelone, les équipes étaient déjà à la manoeuvre. Pour Paris, Atos, en tant qu'éditeur, livre deux applications, la première, Olympic Management System, permet de planifier les accréditations, 500 000 au total selon Christophe Thivet, directeur de l'intégration technologique pour les Jeux de Paris 2024 chez Atos, via un processus entre les services de l'Etat et l'application d'Atos, et ce, jusqu'à la fourniture finale du badge. En soi, la SSII, de par ses expériences précédentes sur d'autres JO s'appuie donc sur un socle connu. En revanche, pour Paris, la plateforme s'enrichit d'un outil d'aide à la décision sur le choix des volontaires. « Sur 300 000 candidatures de volontaires, il fallait en sélectionner 35000, grâce à un algorithme spécialement développé pour ces JO, nous sélectionnons les bonnes personnes par rapport aux postes recherchés, un étudiant en médecine, nous n'allons pas par exemple lui confier une mission de transport », explique Christophe Thivet. Quant à la deuxième application, Olympic Diffusion System, elle permet, en s'interfaçant avec Omega (partenaire historique des JO), de diffuser les chronos en moins d'une seconde auprès des médias et des spectateurs, et la spécificité pour Paris est qu'il a fallu enrichir cette application d'une prise en charge des nouveaux sports comme le surf, le breaking, l'escalade sportive et le skateboard. 

Publicité

Derniers Dossiers

Cyberattaques : ces ransomwares qui terrassent les hôpitaux

Cyberattaques : ces ransomwares qui terrassent les hôpitaux

Pour contrer les cyberattaques, en particulier les ransomwares, les établissements de santé s'organisent, de la mise en place d'outils de cybersécurité - avec des sauvegardes...