Athena Global Services revient sur le marché de la sauvegarde

Capture d'écran de l'interface utilisateur d'ActiveImage Protector.

Capture d'écran de l'interface utilisateur d'ActiveImage Protector.

L'importateur/distributeur Athena Global Services trouve une alternative à l'offre de StorageCraft en signant avec NetJapan. Il dispose de nouveau d'une technologie de sauvegarde et de restauration complémentaire aux solutions de cybersécurité d'ESET.

Depuis la fin de son partenariat avec Storagecraft il y a un an, Athena Global Services n'avait plus de solution de sauvegarde et de restauration en catalogue. Aujourd'hui, le distributeur se relance sur ce marché avec le référencement de l'offre de NetJapan et la mise en place d'un support technique associé. Cet éditeur nippon propose la gamme de produits ActiveImage Protector pour machine physiques et/ou virtuelles. Ces logiciels fonctionnent avec ou sans agent, selon les configurations. Pour l'heure, le contrat qui lie les deux entreprises confère à Athena GS un statut de grossiste.

Athena accepte un statut de grossiste mais vise celui d'importateur

Habituellement, le distributeur préfère les accords d'importation exclusifs, tel que celui qui le lie à l'éditeur de solutions de cybersécurité ESET. Les opportunités que représentent l'offre du japonais semblent l'avoir convaincu d'accepter de faire des concessions. Alors qu'il dispose de 20% de parts de marché au Japon et qu'il est présent dans plusieurs parties du monde, NetJapan vend en effet très peu en France. En outre, le code source de ses produits, est, à la base, le même que celui des produits de StorageCraft. A la différence près, selon Benoît Grunemwald, que les logiciels du japonais sont de 30 à 40% moins chers que ceux de son concurrent. A terme, le directeur des opérations est bien décidé à convaincre NetJapan de faire d'Athena GS son importateur exclusif.

La sauvegarde, une source de revenus non négligeable pour Athena GS

Il était important pour Athena Global Services de revenir sur le marché de la sauvegarde. D'une part, parce que ce domaine est très complémentaire de celui de la cybersécurité. En outre, l'importateur/distributeur ne voulait pas faire une croix sur les 10% de chiffre d'affaires qu'il réalisait à travers plusieurs centaines de revendeurs dans la commercialisation des solutions de StorageCraft.

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