Dédié aux besoins informatiques des PME, le groupe VDN rassemble 26 VAR et ISV et se targue d'avoir connu une année 2008 « exceptionnelle », qui a permis au groupement de passer le cap des 500 collaborateurs pour un chiffre d'affaires de plus de 68 millions d'euros.
Les prestataires IT « heureux » et « optimistes » existent, mais ils ont tendance à se montrer très discrets. Ainsi, les 26 membres du groupe VDN, malgré des fortunes diverses, forment un ensemble qui se porte fort bien, avec un chiffre d'affaires cumulé de 68 millions d'euros et un effectif qui a passé la barre des 500. « Nous ne l'avons pas crié sur les toits, mais l'année 2008 a effectivement été très bonne pour la plupart de nos membres, explique Henry-Michel Rozenblum, Secrétaire Général du groupe VDN. Cette performance n'est pas liée à un effet « start up », car les entreprises du groupe sont âgées en moyenne 17 ans, mais à des positionnements très ciblés : des éditeurs verticaux dédiés à des activités en forte progression, comme le négoce de pièces détachées pour les automobiles ou l'hospitalisation à domicile, des intégrateurs horizontaux certifiés dans des domaines tels que la virtualisation ou les serveurs lames, ou encore des acteurs historiques de marchés tels que celui de l'IBM AS/400 ». Un groupe généraliste spécialisé... La règle du groupement VDN est l'unanimité : aucun candidat ne peut être retenu si l'un des membres avance une raison objective de rejeter sa demande. « Le groupe VDN a été créé fin 2003 et nos performances ne peuvent pas être mesurées sur la croissance du nombre d'adhérents, car nous faisons peu de prospections, ajoute Henry-Michel Rozenblum. Notre véritable objectif est de pouvoir dire aux PME que nous pouvons être un fournisseur global, capable de répondre à leurs besoins en termes de matériels, de logiciels spécifiques et de services ». De ce fait, le groupe VPN est à la fois généraliste de l'informatique et spécialisé sur les PME : « il nous a fallu près de 5 ans pour généraliser les interventions à plusieurs, mais le concept se révèle très efficace, précise Henry-Michel Rozenblum. Sachant que l'effectif moyen est d'environ 20 salariés, il est impossible que chacun investisse pour disposer de toutes les compétences et certifications. La mutualisation des savoir-faire devient un atout déterminant ». Des objectifs géographiques
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